Chers diocésains,
À l’entame de cette semaine sainte, alors que le regard se porte vers Pâques, nous voudrions vous exhorter à l’espérance.
Il est de notre mission chrétienne et d’une urgence toute particulière en ce temps de pandémie, d’être ferment de cette espérance pour le monde.
« Soyez prêts à tout moment (…) de rendre raison de l’espérance qui est en vous. » 1P3,15
C’est pourquoi, nous vous invitons :
- À cultiver l’espérance en mettant au cœur de nos préoccupations le bien de l’être humain considéré dans toutes ses dimensions.
- À cultiver l’espérance en refusant les enfermements de la peur et des discours anxiogènes.
- À cultiver l’espérance en regardant l’avenir à bâtir ensemble convaincu qu’il est riche de promesses.
- À cultiver l’espérance en vivant la solidarité au quotidien, antidote efficace contre le repli sur soi et la solitude.
- À cultiver l’espérance en rivalisant d’attention les uns pour les autres.
- À cultiver l’espérance parce que la Vie triomphe toujours de la mort.



Depuis un an, les orientations choisies, les décisions prises, le vocabulaire utilisé, voire labellisé, révèlent une certaine conception de l’être humain qui nous pose question. Parmi celles-ci, qu’en est-il de l’essentiel pour vivre ou survivre ? Peut-on se contenter de ce qu’offrent les commerces dits essentiels, les déplacements dits essentiels, les relations dites essentielles… ?
Chers diocésains,