Lundi 3 janvier 2022 – mémoire facultative du Saint Nom de Jésus

L’Enfant Jésus est le Fils que Dieu a engendré depuis toute éternité. Il lui a donné un Nom qui dépasse tous les autres noms. C’est par ce seul nom que nous sommes sauvés de toutes maladies et de tout mal physique et spirituel.

Père très bon, toi dont le nom est toujours sanctifié, glorifie le saint Nom de Jésus Christ en étendant ton Règne d’amour sur toute la terre. Et par lui, assure-nous la santé de l’âme et du corps (1 Jn 3, 22 – 4, 6; Ps 2, 7bc-8, 10-11; Mt 4, 12-17.23-25).

 

Bulletin paroissial St Guibert – janvier 2022

Offices

Messes à Gembloux durant la semaine.

Le mardi, à 9h00, messe à l’église St Guibert.
Le mercredi, à 15h00, messe à la Charmille.
Le jeudi, à 9h00, messe à l’église St Guibert.
Le vendredi, à 10h45, messe à la Chanterelle.

Le dimanche, à 10h45et 18h00, messe dominicale à l’église St Guibert.

Voir les intentions et les modifications éventuelles ci-dessous.

Semaine du dimanche 2 janvier 2022, Epiphanie du Seigneur (C)

Samedi 1er janvier 2022, à 10h45  Fête de Marie, Mère de Dieu. Messe en Unité Pastorale, à Bossière.

Dimanche 2 janvier 2022, à 10h45  Fête de l’Epiphanie. Messe des enfants et des familles pour Emilie MOLINGO et Willy ELEBE et les défunts de leur famille.

Dimanche 2 janvier 2022, à 18h00  Messe.

Mardi 4 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 6 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 6 janvier 2022, à 9h30  Adoration, à l’église St Guibert.

 

Semaine du dimanche 9 janvier 2022, Baptême du Seigneur (C)

Dimanche 9 janvier 2022, à 10h45  Baptême du Seigneur. Messe pour Joseph et Marie DEBUISSON-GRANDMAISON et les défunts de leurs familles.

Dimanche 9 janvier 2022, à 18h00  Messe.

Mardi 11 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 13 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 13 janvier 2022, à 9h30  Adoration, à l’église St Guibert.

 

Semaine du dimanche 16 janvier 2022, 2ème dimanche du temps ordinaire (C)

Dimanche 16 janvier 2022, à 10h45  Messe.

Dimanche 16 janvier 2022, à 18h00  Messe.

Mardi 18 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 20 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 20 janvier 2022, à 9h30  Adoration, à l’église St Guibert.

Jeudi 20 janvier 2022, à 20h00  Célébration œcuménique, à l’église St Guibert.

 

Semaine du dimanche 23 janvier 2022, 3ème dimanche du temps ordinaire (C)

Dimanche 23 janvier 2022, à 10h45  Messe aux intentions de Jireh OPANA et pour Joseph et Marie DEBUISSON-GRANDMAISON et les défunts de leurs familles, pour Jean et Anne-Marie DUPUIS et les défunts de leur famille.

Dimanche 23 janvier 2022, à 18h00  Messe.

Mardi 25 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 27 janvier 2022, à 9h00  Messe.

Jeudi 27 janvier 2022, à 9h30  Adoration, à l’église St Guibert.

 

Semaine du dimanche 30 janvier 2022, 4ème dimanche du temps ordinaire (C)

Dimanche 30 janvier 2022, à 10h45  Messe pour Robert BOCK.

Dimanche 30 janvier 2022, à 18h00  Messe.

 

Baptêmes

Dimanche 9 janvier 2022, à 12h15  Baptême de Simon THIBAULT.

 

Réunions

Lundi 3 janvier 2022, à 20h00  Groupe de prière Cana.

Mardi 4 janvier 2022, à 20h00  Réunion de l’équipe pastorale de l’UPG.

Dimanche 9 janvier 2022, à 9h00  Rencontre de la catéchèse de Confirmation (initiation3), à l’église de Gembloux.

Lundi 10 janvier 2022, à 20h00  Groupe de prière Cana.

Mardi 11 janvier 2022, à 9h30  Groupe de prière Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus.

Vendredi 14 janvier 2022, à 10h00  Réunion des agents pastoraux du doyenné de Gembloux.

Vendredi 14 janvier 2022, à 20h00  Réunion de l’équipe d’animation paroissiale.

Lundi 17 janvier 2022, à 20h00  Groupe de prière Cana.

Mardi 18 janvier 2022, à 20h00  Réunion du Conseil pastoral de l’UPG.

Vendredi 21 janvier 2022, à 20h00  Réunion de préparation aux baptêmes de février.

Lundi 24 janvier 2022, à 20h00  Groupe de prière Cana.

Mardi 25 janvier 2022, à 9h30  Groupe de prière Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus.

Mardi 25 janvier 2022, à 14h30  Réunion de l’équipe liturgique.

Vendredi 28 janvier 2022, à 20h00  Réunion de préparation au mariage.

Lundi 31 janvier 2022, à 20h00  Groupe de prière Cana.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec l’Enfant Jésus,

 

Bonne et joyeuse année 2022

L’Epiphanie du Seigneur – dimanche 2 janvier 2022

Is 60,1-6 ; Ep 3,2-3a. 5-6 ; Mt 2,1-12

Nous célébrons aujourd’hui la solennité de l’Epiphanie de notre Seigneur Jésus Christ. Célébrer l’Epiphanie du Seigneur, signifie reconnaitre sa « manifestation » ou sa « révélation » au monde entier ; car Jésus est venu non seulement pour les juifs mais aussi pour tous les hommes et toutes les femmes quelques soient leur race ou leur croyance. C’est cela que saint Paul affirme dans la deuxième lecture lorsqu’il déclare comprendre la révélation du mystère de Dieu, à savoir que « toutes les nations sont associées au même héritage, au même corps, au partage de la même promesse dans le Christ Jésus par l’annonce de l’évangile ».

L’évangile de ce jour nous rapporte le récit des rois mages qui sont des étrangers et des païens et qui, de manière mystérieuse sont venus adorer Jésus qui s’est révélé au monde comme Lumière qui vient dissiper nos ténèbres.

 Debout, Jérusalem, resplendis ! Elle est venue, ta lumière, et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi.

Dans la première lecture, le prophète Isaïe invite les israélites à reconnaitre ce que le Seigneur fait pour eux, en ramenant les exilés dans leur pays. Le prophète appelle le peuple qui était plongé dans l’obscurité à se tenir débout et à ouvrir les yeux pour regarder la lumière du Seigneur qui vient les sortir de ténèbres.

Nous pouvons aussi prendre cet appel à notre compte ; car lors de notre baptême Dieu nous a donné son esprit de lumière ; il nous suffit d’ouvrir nos yeux et de regarder au fond de nos cœurs pour y percevoir la lumière de l’esprit qui nous aide à quitter nos ténèbres afin de resplendir de la lumière du Christ.

En effet, la Jérusalem d’aujourd’hui, pomme de discorde entre Israéliens et palestiniens, voire entre gardien rivaux des lieux saints, ne ressemble guère à celle du roi Hérode, encore moins à celle radieuse et souveraine qu’entrevoyait le prophète du retour. Pourtant, juifs, chrétiens et musulman continuent à s’en réclamer comme leur patrie spirituelle, point de rencontre unique du ciel et de la terre. Or, les mages d’orient, dont l’évangile de Mathieu conte l’étonnant périple, ne faisaient pas partie du peuple élu. Ces chercheurs de Dieu venus d’ailleurs, nous invitent aujourd’hui à regarder par-delà les limites des églises, de nos races et de nos cultures et à ne pas être trop possessif du trésor de l’évangile car le salut que le Christ apporte est destiné à tous.

Il nous revient alors de favoriser l’expansion de son évangile à travers le monde entier et de n’y poser aucun obstacle. Nous avons donc le défi d’attirer les hommes au Christ et à être des lumières pour les autres à partir de notre témoignage de vie.                                                                                                                                         Dans l’évangile, cette lumière est représentée par l’étoile que les mages suivaient.

Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui.

Ces astrologues babyloniens ou perses, au courant de l’attente d’un sauveur par les juifs, croient découvrir le signe de sa naissance dans un astre qu’ils ont observé. Ces païens n’hésitent pas à se mettre en route. Mais le peuple, pourtant prévenu par la Bible, adopte à travers des chefs, une attitude d’hostilité ou d’indifférence envers son sauveur.

L’indifférence des habitants de Jérusalem est comparable à l’indifférence religieuse qui se vit dans notre monde aujourd’hui et cela au profit des plaisirs mondais.

En effet, la grande leçon que nous pouvons tirer de ce récit, est celle de l’attitude des rois mages : ils ont vu le signe du temps, ils se sont mis en route et surtout qu’ils se sont laissé guider par l’étoile.

Et lorsque l’étoile a disparu, il a fallu que les chefs des prêtres et les scribes scrutent les écritures pour retrouver la direction où devait se rendre les mages. Dans nos vies, il arrive aussi parfois que la lumière de la fois disparaisse pour un temps plus ou moins long.  Et ce passage de l’évangile nous montre qu’à des pareilles circonstances, il nous faut retourner aux écritures afin de retrouver la bonne direction à donner à nos vies.

Comme les rois mages, nous sommes en route à la suite du Christ. Et pour chacun de nous, Dieu allume une étoile pour nous éclairer. C’est la parole de Dieu qui nous guide et nous conduit vers lui. « Les nations marcheront vers ta lumière… Tous les gens de Saba viendront, proclamant les louanges du Seigneur ».

Comme les mages, nous sommes invités à écouter le gémissement de notre cœur qui tend vers le bien et ne pas nous laisser éblouir par les mensonges de ce monde ou par les artifices qui nous séduisent : « Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant, et quand vous l’aurez trouvé, venez me l’annoncer, pour que j’aille moi aussi me prosterner devant lui ».

L’évangile rapporte aussi la cène d’agitation du roi Hérode, qui s’est mis en colère en entendant parler de la naissance d’un autre roi. Hérode fut un mauvais roi. Il a vécu toute sa vie dans la peur de perdre son pouvoir. Il voyait des complots partout. Pour conserver son pouvoir, non seulement qu’il avait massacré des enfants innocents, mais il commettait aussi d’autres tueries : il a fait tuer ses trois fils, sa belle-mère et son épouse. Cependant il n’a pas échappé à la vérité de l’histoire, car la mort l’a rattrapée. Alors Jésus le vrai roi vit et règne pour l’éternité. Cet épisode nous révèle que les pouvoirs totalitaires dans le monde, quelques soient leurs puissances, finissent par disparaitre.

Prions pour la conversion des gouvernants aveuglés par leur pouvoir, afin qu’il se mettent au service de leur peuple et qu’ils reconnaissent et adorent l’unique et vrai roi, Jésus Christ notre Seigneur.

Frères et sœurs, en ce jour où nous célébrons l’Epiphanie du Seigneur, laissons-nous guider par le Christ, la Parole faite chaire qui veut éclairer notre chemin vers le salut. Et prions pour que le Seigneur se révèle au monde d’aujourd’hui et attire à lui tous les hommes et toutes les femmes.

Amen

Abbé Hugues MBATIZOMA

Vendredi 31 décembre 2021

Nous passons les dernières heures de l’année 2021 et nous nous préparons à commencer l’année 2022. C’est l’occasion de rendre grâce à Dieu, d’implorer sa miséricorde et de nous abandonner dans les mains de la divine Providence.

 

Dieu notre Père, nous te rendons grâce pour Jésus Christ, le Verbe de Dieu qui s’est fait l’un de nous, et pour toutes les grâces et bénédictions dont tu nous as comblés durant l’année 2021. Par les mérites du Christ, jette un regard de miséricorde sur tous nos péchés et efface toutes les anti-valeurs dont nous avons été responsables pendant cette année qui s’achève. Et dans une confiance filiale totale, nous remettons nos vies et notre avenir entre tes mains providentielles (1 Jn 2, 18-21; Ps 95, 1-2a, 11-12a, 12b-13ab; Jn 1, 1-18). 

Jeudi 30 décembre 2021

L’Enfant Jésus, qui est le Fils de Dieu né de Marie, a grandi en étant rempli de sainteté, de grâces et de sagesse. Il est la réponse de Dieu à tous ceux et celles qui attendent d’être délivrés du mal qui pèse sur eux.

Dieu notre créateur et notre roi, toi par qui le monde tient bon et reste inébranlable, tu gouvernes le monde avec droiture et justice. Par ton Fils Jésus Christ, pardonne-nous de nos péchés, remplis-nous de tes grâces et de la sagesse de l’Esprit Saint afin que nous sachions demeurer en toi en nous éloignant du monde et de ses convoitises (1 Jn 2, 14-17;  Ps 95, 7-8a, 8b-9, 10; Lc 2, 36-40).

 

Mercredi 29 décembre 2021

Lorsque Marie et Joseph présentent l’Enfant Jésus au Temple de Jérusalem, Syméon reçoit Jésus dans ses mains et bénit Dieu. Car, il voit en lui celui par qui Dieu réalise le salut promis à tous les peuples. Il reconnaît également en lui la lumière et la gloire de Dieu qui se révèlent à toutes les nations.

 

Dieu tout-puissant, nous te louons et nous te bénissons parce que tu as créé le ciel et la terre et parce qu’en Jésus Christ, tu révèles ton salut à tous les peuples du monde. Donne-nous ton Esprit Saint afin que nous puissions reconnaître en lui la manifestation de ton amour infini et une invitation permanente à aimer le prochain à notre tour (1 Jn 2, 3-11; Ps 95, 1-2a, 2b-3, 5b-6; Lc 2, 22-35).

Lundi 27 décembre 2021 – fête de St Jean

L’Apôtre Jean partage son expérience de la résurrection de Jésus Christ. Le tombeau vide était pour lui une brillante manifestation de la résurrection de Jésus. En regardant attentivement les détails du tombeau, Jean en arrive à croire que Dieu a fait triompher définitivement la vie sur la mort.

 

Père tout-puissant, toutes tes manifestations au monde sont faites pour donner la vie aux hommes et pour leur donner l’opportunité de goûter à la joie parfaite. Donne à chacun de nous la grâce de faire individuellement l’expérience de la vie éternelle que tu nous révèles en ton Fils Jésus Christ et d’en rendre témoignage  (1 Jn 1, 1-4; Ps 96, 1-2, 5-6, 11-12; Jn 20, 2-8).

Pour en savoir plus sur cette fête, cliquez ici 

Ste Famille – Dimanche 26 décembre 2021

Chers frères et sœurs,

Cette année la fête de la Sainte famille charpente sa liturgie autour de l’épisode qui, dans St Luc clôture les récits de l’enfance de Jésus. Il s’agit du pèlerinage que firent Jésus, Marie et Joseph à l’occasion des douze ans de l’enfant. Ces journées de joie, d’angoisse et de surprise nous disent beaucoup sur le sens de la famille.

La première chose à remarquer est bien la simplicité avec laquelle la Sainte famille s’acquitte, comme tout le monde, du devoir de pèlerinage qui s’imposait à tout enfant au moment de son adolescence. Il n’y aurait rien de bien extraordinaire dans cet événement si nous ne nous rappelions que l’enfant n’est autre que le fils de Dieu. Pour le chrétien qui lit aujourd’hui ce texte, il apparaît comme une magnifique et toute simple affirmation de l’Incarnation de Dieu. Le Dieu Très Haut a bien voulu se placer en une situation telle qu’Il ait à se soumettre à la loi d’Israël. Le Dieu trois fois Saint, a voulu se faire sujet de la loi. Nous avons vu le fils de Dieu se soumettre aux prescriptions de la loi touchant à la circoncision. À l’heure où se clôture l’enfance légale, comment les parents de jésus n’auraient-ils pas conduit l’enfant jusqu’au temple de Jérusalem ! L’humilité de Dieu est une étrange découverte pour tout croyant en l’Incarnation de Dieu fait homme.

Soudain les choses basculent. Sur le chemin du retour, Marie et Joseph ont perdu l’enfant. Affolés, ils retournent à Jérusalem. Pendant trois jours ils le cherchent avec angoisse. Déjà cette recherche inquiète est d’un enseignement précieux pour nous. Il nous arrive parfois de ne plus voir bien clair dans notre démarche de foi. La paix intérieure, la joie de croire, s’estompent soudain. La tentation se fait toute proche qui peut nous suggérer d’abandonner la foi. On croit avoir perdu Dieu. Combien, et très sincèrement, croient qu’ils se sont trompés de chemin ! Marie et Joseph nous indiquent l’issue hors de cette impasse. Pour eux, la perte de jésus déclenche un douloureux effort de recherche. Ils n’abandonneront que lorsqu’ils auront retrouvé leur enfant. Où est donc leur secret ?

Leur secret est dans le fait que leur lien avec jésus est de l’ordre précisément de la famille.  Leur amour pour jésus est un amour de mère et de père. Rechercher jésus est une question de vie et de mort.

Pour nous, par contre, notre lien à jésus est, bien souvent, abstrait, simplement intellectuel. Notre choix pour lui révélerait plutôt de l’opinion, comme on le dit d’une opinion.  Si la vérité de cette opinion s’estompe, pourquoi n’en changerait-on pas ? Après tout nous sommes libres.

Sans doute ! Mais la foi n’est pas seulement une opinion, même si elle s’accompagne de convictions de cet ordre. La fête d’aujourd’hui nous montre clairement que la foi est d’abord un lien vivant noué avec Jésus, un lien de l’ordre du lien familial. Un lien de Fraternité indestructible avec celui qui nous révèle Dieu précisément comme notre père.

Jésus nous invite à nous libérer de ce Dieu théorique, que l’on appelle le Dieu des philosophes. Pour si noble que soit ce Dieu, Il demeure une notion. Le Dieu de jésus est le Dieu vivant, pleinement engagé par l’Incarnation dans l’histoire des hommes. Notre lien à lui est de l’ordre de la vie. Le perdre de vue ne peut alors que nous engager dans la souffrance et la recherche. Si nous avons le sentiment de l’avoir perdu, c’est sans doute que nous ne sommes plus sur le même chemin que lui.  A nous de tout faire pour retrouver ses sentiers. (cf. Ps 25 4)

Loin d’être la célébration d’un sentimentalisme fade, la fête de la Sainte Famille nous dit la vraie nature de notre relation à Dieu, grâce à Jésus. Parle baptême et la foi, nous sommes de la famille de Dieu, avec le même réalisme et la même force que l’appartenance à notre famille. Nous pouvons avoir des différends avec les nôtres, nous pouvons les renier, les trahir, nous pouvons avoir le sentiment d’être abandonnés. Jamais nous ne pourrons faire que nous ne soyons pas issus de leur sang. Que toutes nos familles soient illuminées de la clarté de Noël. Amen

Abbé Jeannot-Basile Nduwa.