Si vous voulez relire le Jeudi Saint d’une manière un peu différente, vous la trouverez sous forme de journal ici
Si vous voulez relire le Jeudi Saint d’une manière un peu différente, vous la trouverez sous forme de journal ici
Le temps du Carême joue les prolongations, relève le cardinal Jozef De Kesel. Il n’empêche que nous pouvons porter la Bonne Nouvelle de la résurrection du Christ. Tant qu’à être confinés, l’archevêque nous invite à nous plonger dans la prière à l’écoute de la Parole de Dieu pour mieux encore agir en chrétiens responsables.
La participation à la messe chrismale comme à toutes les autres célébrations est limitée à 15 personnes ! Vous êtes invités à vous joindre à la célébration via vos écrans sur YouTube ou sur la page Facebook du service de pastorale liturgique
Ce dimanche des Rameaux devait avoir lieu la 2e collecte pour la campagne de carême d’Entraide & Fraternité. Si vous ne pouvez pas donner lors d’une célébration, merci de penser à faire un don
Pour ne pas être en retard à la messe où vous avez réservé une place pour ce dimanche !
Chers diocésains,
À l’entame de cette semaine sainte, alors que le regard se porte vers Pâques, nous voudrions vous exhorter à l’espérance.
Il est de notre mission chrétienne et d’une urgence toute particulière en ce temps de pandémie, d’être ferment de cette espérance pour le monde.
« Soyez prêts à tout moment (…) de rendre raison de l’espérance qui est en vous. » 1P3,15
C’est pourquoi, nous vous invitons :
« Mon âme est bouleversée »
Alors que le rejet et la mort se profilent, l’âme de Jésus est bouleversée. Le chemin qui devient le sien est troublant. Il semble contredire l’amour de Dieu pour le monde.
Mais c’est précisément cet amour immense qui conduit Jésus en ces lieux où la violence et la mort paraissent toutes-puissantes. Il rejoint, en aimant, tous ceux et celles que les chocs de l’existence bouleversent. Comme le grain de blé, il tombe en terre, il meurt, mais il ne reste pas seul. Il devient le proche et même le frère de tous les pauvres de la terre. Il porte du fruit.
Il nous invite, nous aussi, à prendre le risque de perdre une vie repliée sur elle-même, une vie qui ramène tout à soi. Une vie dans laquelle on finit par rester seul. Ce détachement est rude, mais c’est lui qui ouvre à de nouveaux liens, à une nouvelle fécondité.