Jésus s’abaisse pour laver les pieds de ses disciples alors qu’il est leur Seigneur et leur Maître. C’est un exemple d’humilité et de service qu’il donne aux Apôtres.
Seigneur Jésus Christ, apprends-nous à aimer comme tu nous as aimés; donne-nous le courage de marcher à ta suite jusqu’au don de notre vie; et donne-nous ton Esprit Saint afin que nous puissions faire mémoire de toi en nous mettant au service de nos frères et sœurs (Jn 13, 1-15).
Pour de l’argent, Judas Iscariote, un des douze disciples et amis de Jésus, a trahi la confiance de son Maître en le livrant à ceux qui cherchaient à le tuer.
Seigneur Dieu, éloigne de nos cœurs tout égoïsme et toute cupidité afin qu’aucun intérêt matériel ou social ne puisse entacher notre loyauté à l’égard de Jésus Christ notre Seigneur et Sauveur (Mt 26, 14-25).
Jésus annonce à ses disciples que l’un d’eux va le trahir. L’évangéliste Jean raconte que les disciples se sont regardés les uns les autres « avec embarras ».
Se sont-ils vraiment suspectés mutuellement ou, pendant un instant, chacun s’est considéré comme susceptible d’être le traître ? Oui, chacun de nous peut se retrouver à la place de Judas qui trahit ou de Pierre qui renie Jésus.
Seigneur, par la passion de Jésus Christ, apprends-nous à être fidèle à ton amour à chaque instant et tous les jours de notre vie (Jn 13, 21-33.36-38).
Dans cet épisode de l’évangile, nous pouvons constater qu’il y a deux camps parmi les personnes qui sont autour de Jésus: il y a ceux qui sont honnêtes et qui font du bien à Jésus; et il y a ceux qui expriment de mauvaises intentions (hypocrisie, cupidité et envie de meurtre) et méditent le crime.
Père, aide-nous à accueillir le Christ en nous, à nous mettre à son service et à l’honorer par la bonne odeur de nos actions généreuses (Jn 12. 1-11)
Le denier cri de Jésus sur la croix
Dans le récit de la passion de Jésus que nous lisons ce dimanche, nous entendons Jésus crier. Il crie en s’adressant à Dieu au moment de mourir. Il ne s’agit pas d’un cri de désespoir mais d’une expression sincère de sa foi au Père et de son espérance en la Providence divine. C’est un exemple qui est donné aux hommes confrontés à la souffrance.
Sur la croix, avant de mourir, Jésus dit: « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ». En réalité, Jésus reprend la première phrase du psaume 21. Si nous lisons ce psaume dans son ensemble, nous découvrirons qu’il exprime effectivement la douleur et la souffrance ressenties par Jésus. Mais aussi la foi d’un homme qui s’abandonne totalement à Dieu, car son salut dépend de Dieu seul. Continuer la lecture
Même si sa mort est le résultat d’une machination politico-religieuse, Jésus accueille sa passion comme l’unique offrande agréable à Dieu pour le salut de tous les hommes.
Seigneur Jésus Christ, toi qui es la victime offerte au Père pour notre salut, donne-nous aussi le courage d’accepter nos croix afin que, à ta suite et durant chaque célébration eucharistique, nous nous unissions à ton unique sacrifice qui redonne la vie à notre monde (Jn 11, 45-57).
« Rien n’est impossible à Dieu ». Car, par la seule puissance de sa volonté et de sa parole, Il peut faire concevoir une vierge par l’action de l’Esprit Saint et faire naître le Fils de Dieu sur la terre. Il est capable de donner à une vieille femme stérile la joie d’être mère.
Père éternel et tout-puissant, par l’intercession de la Vierge Marie, aide-nous à croire à la puissance infinie de ton Amour et à garder l’espérance devant n’importe quels obstacles et difficultés (Lc 1, 26-38).
C’est en gardant en eux les paroles de Jésus que ceux qui deviennent ses disciples accèdent à la vérité et sont libérés du péché. Ils deviennent également, par le Christ, les filles et les fils du Père céleste.
Seigneur notre Dieu, aide tous les baptisés à rester fidèles aux paroles de ton Fils, Jésus Christ. Ainsi ils agiront vraiment comme tes fils et comme des frères et sœurs entre eux (Jn 8, 31-42)
En annonçant sa mort prochaine aux Pharisiens, Jésus affirme sa relation toute particulière avec son Père et sa totale confiance en Lui.
Père, donne-nous la grâce de te faire entièrement confiance en tout temps et en tout lieu afin que, unis constamment à toi, nous puissions accomplir parfaitement ta volonté dans notre vie (Jn 8, 21-30).
Le rapport à son propre corps et la relation aux corps des autres sont des sujets de notre intimité et de notre identité sur lesquels l’évangile nous invite à nous interroger pendant cette marche vers Pâques. Où en sommes-nous chacun ? Quelle est notre fidélité dans ce cadre ? Avons-nous la juste conscience de ce qui est » péché » dans ce domaine ? Avons-nous des choses à revoir et à abandonner ?
Seigneur, donne-nous d’avoir la juste conscience de tout ce qui nous éloigne de toi par rapport au sixième commandement. Et dans ta grande miséricorde, aie pitié de nous et aide-nous à prendre sincèrement le chemin de la conversion (Jn 8, 1-11).